manuel page ligature

• 19 Avr. 2012 - 09:12

bonjour,

l'image de la page ligature du manuel http://musescore.org/fr/manuel/ligature contient un icône non explique

(l'avant dernier) qui correspond (d’après le manuel anglais) a une fonctionnalité de la version 2.0 --> commencer une ligature de deuxieme niveau

(il serait peut etre utile aussi utile de mettre les lien vers les 2 "how to" traduit de l'anglais non?)

Je n'ai pas trouver comment éditer les pages...?


Commentaires

Cette icône (c'est féminin ;) n'est plus présente dans la version 1.2. J'ai changé l'image. Le manuel anglais devrait être mis à jour. On essaie de coller au plus près à la version anglais du manuel qui est la source de tout. Il vaut mieux modifier le manuel anglais d'abord, puis ensuite "aligner" le manuel français.

Le manuel anglais est éditable en mode Wiki mais pour éviter trop de débordement, et parce que les administrateurs ne parlent qu'un nombre limité de langues, les manuels dans les autres langues ne sont éditables/traduisibles que par un certain nombre de personnes "les traducteurs". Veux tu obtenir les droits pour traduire?

En réponse à par [DELETED] 5

oups, moi et l'orthographe ... je vais essayé de faire attention
(bon j'avoue je pensais que c'était peut etre un mot "hermaphrodite" mdr)

L'anglais a été changé entre temps, car je suis persuadé d'avoir vu cette image !!!!!!!
(ils ont aussi rajotue un paragraphe j'ai l'impréssion)

Pour obtenir les droits je suis volontaire mais que dans quelques temps, quand je maitriserais mieux... ok ?

au passage le lien vers "ligature entre portées" de la page ligature, ne mene nul part :/ tu peux y remedier ?

En réponse à par [DELETED] 5

En informatique le masculin est accepté et même d'usage ! Mais "une icône" religieuse, le féminin est ici impératif. Oui la langue française est un peu pénible et on comprend que l'anglais - surtout US - moins tatillon sur la grammaire et l'orthographe soit préféré ;)

Ben oui ! avoir été imprimeur oblige à connaître toutes les règles : grammaire, orthographe, élision, sémantique, syntaxe, etc... c'est même pour cette raison que sous l'ancien régime les imprimeurs étaient les seuls roturiers à avoir privilège du port de l'épée.

En réponse à par Zynette

Faire imprimer, même encore aujourd'hui, coûte cher. La clientèle de l'imprimeur, sous l'ancien régime, c'est le clergé, la noblesse et les ( très ) riches bourgeois. Dans un monde où savoir lire et écrire n'est l'apanage que d'une petite fraction de la population nul ne peut prétendre au métier d'imprimeur sans avoir à minima ce savoir mais ce n'est pas suffisant : il faut aussi en connaître toutes les arcanes. Un imprimeur, qui est au contact de gens qui sont parmi les plus cultivés, les plus instruits et savants de l'époque, doit comprendre et anticiper les désirs de sa clientèle, au risque de ne pas être payé en cas de moindre défaillance linguistique, orthographique, grammaticale, etc... et donc être lui-même très cultivé et savant. Les imprimeurs, sous l'ancien régime, de l'apprenti au patron, bien qu'issus du labeur ( un travailleur de n'importe quelle autre corporation est pratiquement au plus bas de l'échelle sociale ) se trouvent être propulsés parmi l'élite de la société. Imprimer était le "ROI" des métiers d'où ce privilège et donc cet honneur, bien que roturier, de pouvoir porter l'épée. Je rapelle que seul la noblesse et leurs gens d'armes ( uniquement en service pour ces derniers ) avaient ce droit et toute autre personne portant une épée était passible de la peine de mort.

En réponse à par [DELETED] 5

En allant sur le lien, je me suis rendu compte d'une chose : fils de typographe, typographe moi-même et de plus musicien ( je fus professionnel de 1947 à 1963 ), je suis doublement "enfant de la balle" ;))

Addendum : A la lettre S il manque "Sénateur". (imp) Appliqué aux conducteurs de la presse quotidienne car ils arrivaient sur le lieu de travail en costume de ville et non en "bleus de chauffe". ( Il faut savoir qu'un ouvrier de presse est ( encore )bien mieux payé qu'un ouvrier d'imprimerie plus généraliste de labeur, d'où ce comportement un peu "aristocratique" dans la corporation. La réalité ne le justifie pas : les journaux, produits éphémères et imprimés plutôt rapidement, ne demandent pas autant de qualification, ni de maîtrise en ce qui concerne le rendu de l'impression, que l'imprimerie de labeur.

Paradoxalement les ouvriers les mieux payés n'étaient pas imprimeurs proprement dit mais les "mécanos-lino" dont le salaire servait d'ailleurs de référence ( dans la presse les salaires et les primes se déclinaient en n% du salaire du mécano-lino - un agent de maîtrise ou cadre ayant dans ce cas un taux supérieur à 100% ) le mécano-lino étant l'ouvrier qui mettait en route, entretenait et veillait les linotypes et monotypes de l'atelier ( et uniquement ces machines, c'est pourquoi ils étaient les seuls non-imprimeurs à être admis comme ouvriers du livre ), machines qui servaient à la composition, dont la mécanique à la fois très complexe et très compliquée générait beaucoup de pannes ( blocage de matrice dans la distribution, cassure de la ligne de texte dans le moule, ouverture accidentelle du magasin et éparpillement des matrices, etc.. ). Sans le(s) mécano(s)-lino les imprimeurs de la presse étaient au chômage technique.

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